Didier Chiarabini

Cet artiste est recommandé par les Editions Patou sous la direction du critique Francis Parent.

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Présentation de Didier Chiarabini

Biographie de Didier Chiarabini

« Pour l’Amour de l’Art »

C’est cette définition qui reflète le mieux ce qui depuis toujours me pousse à mener ce combat difficile mais original : vivre mon art, exprimer à la fois le souci de conserver et le goût d’inventer.

Une passion, compagne exclusive, qui au travers de multiples expériences indifférentes aux modèles et aux standards, a su me faire découvrir l’importance de l’expression, la reconnaissance dans l’œuvre.

L’art est un outil pour penser et révéler le monde, y compris soi-même.

Dès que j’ai senti la blessure, celle de tout adolescent bouté, j’ai compris que peindre était dans ma nature et que c’est avec ce don que j’affronterais la vie, et, pourquoi pas l’univers tout entier !

Aujourd’hui, après des années de création et de confrontation avec le public, là où beaucoup se seraient usés, je prends chaque jour de nouvelles forces. Je reprends inlassablement mon œuvre, mes obsessions et mes angoisses, mes amours et mes espérances.

Ma vie est un poème, s’écrit avec des pleins et des déliés, des doutes et des joies.

Ma vie est une quête !

Didier Chiarabini

Le travail de Didier Chiarabini

« Les singulières »

C’est le titre que j’ai donné naturellement à ma nouvelle série de peintures. Portraits de femmes ordinaires, sans apparats ou presque…mais à la fois sexy et ambigus. Aux regards furtifs, parfois lointains, mélancoliques… mais qui donne cependant une approche intime avec le spectateur. Si la touche frôle parfois l’hyperréalisme, je ne néglige pas pour autant la texture picturale, matière qui a forgée mon travail à travers de nombreuses recherches contemporaines et abstraites. Ce thème inépuisable de la « femme » me permet ainsi un retour aux sources et d’offrir au public une œuvre aussi multiple que singulière.

Didier Chiarabini

Le mot des Editions Patou

Entre prestance et fragilité, les figures féminines de Didier Chiarabini se jouent de la perception  et de la sensibilité du spectateur. Dotée d’une atmosphère profonde, sa peinture tire sa force d’un croisement de différents registres picturaux. L’artiste vient télescoper le portrait classique avec le genre de la vanité pour construire une iconographie glamour et mélancolique. Les objets présents dans ses compositions interviennent comme des accessoires qui définissent ces jeunes filles.  Sommes-nous face à des allégories de nos sentiments les plus vains ou bien devant des personnages fictifs auquel l’artiste aurait attribué un rôle ? La force du travail de Didier Chiarabini réside dans une esthétique de l’incarnation et pose finalement la question de la représentation. Le sujet a autant de facettes qu’il y a de regards et prouve son pouvoir métamorphose vis-à-vis d’autrui.

 

Editions Patou