Les œuvres d’ Halinka Mondselewski
Retrouvez ci-dessous les œuvres d’Halinka Mondselewski disponibles sur Critic Art.
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Sans titre IX
2 100,00€ Halinka Mondselewski -
Sans titre IV
3 700,00€ Halinka Mondselewski -
Sans titre I
4 400,00€ Halinka Mondselewski -
Sans titre XII
1 200,00€ Halinka Mondselewski -
Sans titre III
4 400,00€ Halinka Mondselewski -
Sans titre V
3 700,00€ Halinka Mondselewski -
Sans titre VII
4 800,00€ Halinka Mondselewski -
Sans titre II
4 400,00€ Halinka Mondselewski
Découvrez Halinka Mondselewski
Présentation d’Halinka Mondselewski
Biographie d’Halinka Mondselewski
Née au Chili en 1954.
Arrive en France en 1976 / École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris.
Indépendamment de son œuvre personnelle, elle travaille dans des ateliers d’Arts Plastiques (adultes, enfants, et aussi auprès de l’Enfance Inadaptée).
Le travail d’Halinka Mondselewski
Du vertige visuel à un monde lavé d’images, de la vue bienheureuse du voyant aux yeux clos de l’aveugle, le peintre est tantôt l’un, tantôt l’autre.
Il cherche à peindre l’insondable, comme l’aveugle voit avec sa peau et ses rêves.
Plongé dans l’obscurité ou inondé de lumière, il est traversé de tremblements; comme la boue sur les doigts, tout lui échappe.
Éclats lumineux, assombrissement. La couleur chavire, meurt et renaît.
Yeux dedans
Yeux dehors
Halinka Mondselewski
Le mot du Critique d’Art
Des couleurs du dedans, noyées dans l’insondable, abolissent les limités du sensible. Il n’y a plus d’images dans le monde infini de l’intériorité. Les peintures d’Halinka Mondselewski sont de fragiles miroirs en abîme. Des mandalas d’absence fulgurante, et de somptueuses traces d’extrême sensibilité, sans frontière et sans pays, sinon celui du pays des tableaux.
Une forme larvaire d’incandescence brûlante hante ces territoires secrets, à vif et cependant voilés de pudeur et de délicatesse. Entre la trace et le vide, infinies sont les passerelles en ce pays de fine vastitude. D’abstraites contrées rendent cependant ce monde lointain habitable, car ces aplats charnels donnent au vide de quoi respirer.
Christian Noorbergen