Les œuvres de Ljubica Mrkalj
Retrouvez ci-dessous les œuvres de Ljubica Mrkalj disponibles sur Critic Art.
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Poisson rouge et fruits
1 800,00€ Ljubica Mrkalj -
Poisson bleu avec fruits et légumes
1 800,00€ Ljubica Mrkalj -
Demi-pastèque et fruits
1 800,00€ Ljubica Mrkalj -
Tranche de pastèque et fruits
1 800,00€ Ljubica Mrkalj -
Ecrevisse avec fruits et légumes
1 800,00€ Ljubica Mrkalj -
Poisson et fruits
4 200,00€ Ljubica Mrkalj -
Morceau de gâteau et fruits
3 500,00€ Ljubica Mrkalj -
Poisson rouge et fleurs
1 800,00€ Ljubica Mrkalj
Découvrez Ljubica Mrkalj
Présentation de Ljubica Mrkalj
Biographie de Ljubica Mrkalj
Ljubica Mrkalj est née au milieu du XX siècle en Yougoslavie et a poursuivi ses études à l’Académie des Beaux Arts de Belgrade de 1966 à 1973.
En 1973 elle décide de venir s’installer à Paris où elle vit et travaille. Depuis l’an 2000 elle vit alternativement entre Paris et Belgrade.
Depuis 1966 elle a participé à une centaine d’expositions collectives et une trentaine d’expositions personnelles organisées en Yougoslavie, France, Italie, Grèce, Allemagne, Autriche, Espagne, Belgique.
Le travail de Ljubica Mrkalj
« La nature vivante blanche » m’est apparue comme une idée originale et inédite alors que j’étais encore étudiante aux Beaux Arts de Belgrade en 1972. J’ai décliné depuis ce thème, tant à la peinture à l’huile qu’à l’aquarelle, en jouant des variations infinies qu’il offrait.
Parallèlement je peints des paysages oniriques et des scènes mythologiques inspirés par la Grèce où j’effectue des séjours réguliers.
Le mot du Critique d’Art
En intitulant ses natures mortes « Natures vivantes » Ljubica Mrkalj laisse non seulement percer sa malice, mais entrevoir l’esprit de sa démarche artistique. Il s’agit pour elle de renouveler un genre conventionnel réputé obsolète et de lui insuffler une vie nouvelle.
Sur une surface blanche, vue en aplat, sont disposés, parfois sur un mode symétrique, objets, poissons, fruits et légumes de la Méditerranée. Chaque objet ou aliment modelé par la couleur et par son ombre portée, impose sa présence par sa qualité sensorielle qui donne presque envie de le toucher.
Alors, faut-il accorder une valeur symbolique à ces objets et aliments disparates ? Sans doute pas. Toutefois ces natures mortes font irrésistiblement penser aux « Vanités » du XVII et XVIII siècle où la nature morte valait comme allégorie de la brièveté de la vie et du temps qui passe.
Yves Kobry