Guillaine Querrien

Peintre

Cette artiste est recommandée par le critique Christian Noorbergen.

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Présentation de Guillaine Querrien

Biographie de Guillaine Querrien

Née à paris en 1959,

Je partage ma vie entre la France et le Brésil depuis trente ans.

J’ai toujours peint.

J’ai appris les techniques de la gravure sur métal à l’école du Parque lage, Rio de Janeiro.

La force de la nature brésilienne s’est imposée peu à peu dans mon travail de peintre et de graveur,

Depuis trente ans, j’expose, ou parfois organise des expositions,  en France ou au Brésil, seule ou avec des artistes ayant des préoccupations qui conversent avec les miennes.

Le travail de Guillaine Querrien

– Actuellement dans ce travail de paysage, je dessine souvent le même lieu – lumières, mouvements d’eaux, couleurs – jusqu’à réussir à voir beaucoup plus que ce que je vois, et appréhender les espaces librement. Alors, quand, à partir des dessins je passe aux tableaux, j’ai de la matière pour amplifier les possibilités de la peinture: liberté de traits, de formes, infinité des passages de couleurs, transparences. C’est presque un travail d’équilibriste… Trouver les justes rapports entre tous les éléments qui composent la toile…

Guillaine Querrien

Le mot du Critique d’Art

La nature chez Guillaine Querrien, lumineuse et respirante, voire paradisiaque, semble surgir d’un monde libéré des mauvais relents de la modernité humaine. Toujours enciellée, elle semble en apesanteur, onirique, subtilement extra-terrestre, et même un rien lunaire, tant la plus fine décantation joue son rôle. Dépaysement absolu garanti. Comme jamais vus, les paysages de Guillaine Querrien, lyriques, doux et subtilement colorés, respirent royalement. Celle qui peint, dessine et grave, invente une nature claire, transparente, purifiée, et comme éclairée de l’intérieur. “Actuellement dans ce travail de paysage, je dessine souvent le même lieu – lumières, mouvements d’eaux, couleurs – jusqu’à réussir à voir beaucoup plus que ce que je vois, et mieux comprendre ce qui se passe“. Les choses vues ignorent les traces humaines. La terre retrouve une innocence absolue, presque inquiétante, à force de rêveuse plénitude. La lumière est infinie, et l’univers formel d’une incroyable souplesse. L’œil voyage sans fin dans un monde flottant aux allures parfois asiatiques, en plénitude.

 

Christian Noorbergen

Critique d'Art